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11 février - Fête de ma cousine Caroline
16 février - Richard, copain de ma cousine
En ce mois de la St-Valentin, j’ai pensé vous parler encore une fois... d’amour...j’ai trouvé un article sur un site qui s’appelle infopsy et que j’ai trouvé très intéressant. Je voulais vous en faire connaître quelques extraits :
Partenaire idéal c’est...
§ Quelqu’un qui nous complète par ses différences et qui nous amène à nous exprimer intégralement;
§ Quelqu’un qui nous plaît de plus en plus profondément au fur et à mesure que nous le connaissons davantage
§ Celui envers qui nous ressentons amour, estime et complicité;
Ce n’est pas :
§ la personne qui, au premier coup d’oeil, nous séduit globalement.
§ le candidat parfait “dans l’absolu »;
quelqu’un qui nous ressemble le plus possible;
§ quelqu’un qui nous devine sans que nous ayons à nous exprime;
Trois ingrédients indispensables pour qu’une relation intime soit susceptible de durer:
§ l’amour,
§ l’estime
§ la complicité.
L’amour
Il faut absolument aimer la personne, aimer ce qu’elle est fondamentalement. Ceci ne signifie pas que je l’aime intégralement. Elle a certainement des défauts qui me déplaisent, des habitudes qui ne me conviennent pas, des comportements qui me dérangent. Mais il est important que ces irritants demeurent à mes yeux des composantes accessoires de sa personne, des caractéristiques secondaires qui ne font pas directement partie de celles qui la définissent essentiellement. Il faut en plus que cet attrait soit relativement général, physique autant que mental. Cet amour n’est pas surtout romantique; il correspond à une affection réelle pour des dimensions de lui que je connais réellement plutôt que pour des images que je fabriquerais à partir d’indices limités et superficiels. Nous ne pouvons aimer vraiment une personne dont nous n’avons qu’une connaissance superficielle ou trop partielle.
L’estime
Chez l’adulte, l’amour réel implique toujours une part d’estime. Celle-ci est une forme complémentaire d’appréciation, une évaluation positive de la qualité de l’autre. Ce jugement repose sur une concordance entre mes valeurs principales et celles qu’il incarne par ses actes.
La complicité
La vie en couple nous amène à partager un grand nombre de choses : lieux où nous vivons, revenus financiers et dépenses générales, tâches domestiques, éducation des enfants, projets en tous genres, ... Sans une solide complicité, ces conflits peuvent facilement devenir insolubles. Il s’agit d’avoir une même vision sur l’ensemble des questions essentielles pour chacun. Cela ne signifie pas qu’il n’y ait jamais de discussion ou de mésentente, bien au contraire. Mais cette vision commune est nécessaire pour qu’il soit alors possible de réussir à s’entendre en s’assurant que les deux partenaires soient satisfaits. Il s’agit d’une entente profonde basée sur le partage de valeurs, de vision de la vie et de bon nombre de besoins communs. Elle prend la forme d’une connivence qui pousse chacun à s’associer facilement à l’autre et à lui apporter spontanément son support dans la recherche de satisfaction et la poursuite de ses objectifs principaux.
Pour trouver le candidat idéal...
Ma conception n’a rien en commun avec le mythe voulant qu’il y ait quelque part une personne qui nous soit prédestinée. Rien ne garantit que nous reconnaîtrons la personne qui serait notre partenaire idéal si nous venons à la rencontrer.
1) Il est important de rencontrer un grand nombre de personnes compatibles avec nous si nous voulons découvrir celle qui s’avérera notre candidat idéal. Les critères de choix étant très exigeants, il est essentiel que nous puissions les appliquer à un grand nombre d’individus.
2) Nous sommes naturellement attirés par certaines personnes plus que par d’autres. Le préjugé favorable que crée cette attirance spontanée peut contribuer à fournir l’énergie nécessaire à notre exploration.
3) Vérifier si notre intérêt grandit ou diminue au contact de la personne. Notre attrait initial ne reposant que sur des détails sommaires, nous ne pouvons vraiment aimer la personne. Nous avons besoin de la connaître de façon personnelle et sur plusieurs plans avant d’éprouver de véritables sentiments à son endroit. Notre amour se développera si la personne que nous découvrons correspond à nos besoins. Notre estime grandira si les valeurs qu’elle incarne dans sa vie correspondent à celles qui nous importent. Notre connivence germera peu à peu à travers les expériences vécues ensemble et les difficultés que nous aurons surmontées. L’amour n’est donc pas un élan spontané qui surgit au premier regard. Il est au contraire le résultat d’une démarche de connaissance de l’autre, d’affirmation de ce que nous sommes et de validation progressive des zones de connivence que nous découvrons.
Pour un grand nombre de personnes, cette étape est plus facile et plus efficace lorsque les objectifs amoureux sont relégués à l’arrière plan. En se situant d’emblée sur le plan de l’amitié, de la collaboration professionnelle ou de l’assouvissement d’un intérêt commun, ces personnes s’accordent l’espace psychique nécessaire à la découverte progressive de l’autre et à l’épanouissement serein de l’attachement et de l’amour réel. Le fait de considérer l’autre comme un conjoint potentiel crée chez elles une barrière invisible qui rehausse les exigences tout en éliminant les situations où l’autre aurait vraiment la possibilité d’y correspondre.
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